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À PROPOS

Après des études de décorateur  (Ecole Grégoire Ferrandi, Paris), puis une formation de stylisme (Institut Paris Modéliste, Paris). Grégoire B-Thorin poursuit son cursus dans le domaine du design graphique (Nicéphore Cité, Chalon sur Saône).

 

Ses différentes expériences artistiques lui permettent une plus grande liberté de création. Artiste « matiériste », ses œuvres concilient photographie et peinture, au travers d’une mise en scène élaborée où la lumière prédomine.

 

Depuis sa première exposition en 2006, il aborde les thèmes du corps, de l’identité sexuelle, du rêve, de la mort, de la mémoire, traités sur l´idée de violence et d´apaisement. 

 

Aujourd’hui photographe et graphiste designer basé à Dijon, Grégoire B-Thorin conçoit son travail comme un tout, une unité d´ensemble, reflet de l'éphémérité et du temps qui passe.

Avec le projet « MEMO », il se penche sur le thème de la mémoire et de sa disparition.
Un véritable travail d’archéologie de l’image composée de vestiges du passé. La démarche débute par la collecte de différents témoignages de vies à travers divers objets, photos, motifs, tissus, lettres et autres reliques d’instants oubliés. C’est à travers des détails qui peuvent paraître insignifiants que se révèle une histoire suggérée, fantasmée, rêvée où chacun est libre d’interprétation.
L’intention étant de conserver la mémoire et les précieuses traces d’un passé trop souvent délaissé et de les réconcilier dans une forme contemporaine, créant des rencontres, des confrontations d’où vont naître des images bucoliques et poétiques.

 A travers sa série -KIKISSKI-, Grégoire nous invite à nous interroger sur nos préjugés liés à l’apparence, à l’identité réelle ou supposée, de tou·te·s ceux et celles que l’on croise de ci de là, qui font l’objet des rumeurs les plus folles et souvent infondées ; invitation à plonger en soi, à questionner nos évidences, nos normes choisies ou héritées, notre rapport à l’altérité, à la sensualité, à l’attirance comme au rejet ; une incitation à poser un regard neuf et curieux sur ce qui nous fascine ou nous effraie, comme une lucarne parmi d’autres sur le monde et sa diversité. A travers un exercice de déshabillage par photographies interposées puis retravaillées pour en faire la trame d’une fable colorée, dans laquelle chacun-e est invité-e à se chercher, s’imaginer, se projeter, voire se réinventer ?

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